BIO :
À la fin de ses études elle travaille comme dactylo au service comptabilité de l’usine automobile Ford Anglia de Dagenham et arrondit ses fins de mois comme modèle publicitaire. Elle remporte le second prix d’un concours local de chanteurs amateurs et attire l’attention d’un « Talent Scout » local. Découverte par Adam Faith, Sandie Shaw est présentée au manager Eve Taylor. Son deuxième single, (There’s) Always Something There to Remind Me, reprise d’une chanson de Lou Johnson écrite par Burt Bacharach et Hal David, sera son premier tube en 1964. Beaucoup d’autres succès, composés par Chris Andrews suivront, tels que Girl don’t come, I’ll stop at nothing.
L’artiste enregistre aussi ses titres en italien, français et allemand. Elle connaît beaucoup de succès en Europe continentale, en Amérique du sud et se produit en Europe de l’Est et en Iran avant la révolution. Des problèmes de permis de travail l’empêchent de percer aux États-Unis. Une de ses marques de fabrique est de se produire pieds nus, ce qui, dit-elle, lui permet d’être plus à l’aise et de mieux ressentir l’atmosphère d’une chanson.
En 1967, les ventes de disques de l’artiste sont en baisse et le manager décide de lui faire enregistrer des chansons dans un style cabaret contre son souhait. Elle représente alors le Royaume-Uni avec Puppet on a String, une composition de Bill Martin et Phil Coulter. Elle déclare détester la chanson qui, pourtant, remporte le Concours Eurovision et devient un succès mondial. Sandie Shaw se marie avec Jeff Banks en 1971 et ils ont une fille, Gracie, qui naît en 1971.
Son dernier titre classé dans les dix premières places du hit parade britannique s’intitule Monsieur Dupont et sort en 1969. La même année, la chanteuse produit elle-même son album Reviewing the situation. Il contient des reprises d’artistes comme Bob Dylan, The Rolling Stones et Led Zeppelin tandis que son entourage lui fait enregistrer des 45 T pop. En 1972, le succès s’amenuisant, elle cesse d’enregistrer et se lance dans d’autres projets. Elle écrit une comédie musicale rock, compose, travaille comme actrice, écrit et peint des livres pour enfants. Elle se tourne vers le bouddhisme. L’artiste entame alors une période de vaches maigres après avoir divorcé de Jeff Banks et accepte même un travail comme serveuse.
Elle épouse Nik Powell en 1982. Il est le cofondateur du groupe Virgin et le président de l’European Film Academy. Sandie Shaw enregistre à nouveau et Chrissie Hynde l’invite à se produire sur scène avec son groupe The Pretenders. L’année suivante elle reçoit une lettre du chanteur Morrissey et du guitariste Johnny Marr du groupe The Smiths et ils la persuadent d’enregistrer une reprise de leur chanson Hand in Glove qui se vend à 20 000 exemplaires (pendant les trois premiers jours) et se glisse dans les trente premières places du hit parade en Grande-Bretagne. Elle sort finalement un album Hello Angel en 1988. Trois ans plus tard son autobiographie The World at my feet est publiée. Elle étudie à Oxford et devient psychothérapeute en 1994.
En 2002, elle gagne une bataille juridique pour récupérer son catalogue d’artiste et sort The Very Best of Sandie Shaw en 2005. Elle revient également sur ses déclarations négatives au sujet de l’Eurovision et admet être fière de sa victoire de 1967.
PALMARÈS DU PAYS :
1 victoire en 1967 avec Sandie Shaw – Puppet on a String
PAROLES LYRICS :
I wonder if one day that, you’ll say that, you care
If you say you love me madly, I’ll gladly
Be there
Like a puppet on a string
Love is just like a merry-go-round
With all the fun of a fair
One day I’m feeling down on the ground
Then I’m up in the air
Are you leading me on ?
Tomorrow will you be gone ?
I wonder if one day that, you’ll say that, you care
If you say you love me madly, I’ll gladly, be there
Like a puppet on a string
I may win on the roundabout
Then I’ll lose on the swings
In or out, there is never a doubt
Just who’s pulling the strings
I’m all tied up in you
But where’s it leading me to ?
I wonder if one day that, you’ll say that, you care
If you say you love me madly, I’ll gladly, be there
Like a puppet on a string
I wonder if one day that, you’ll say that, you care
If you say you love me madly, I’ll gladly, be there
Like a puppet on a string
Like a puppet on a…
String